War Hentchou Irvilhag : un atelier généalogie .. nouvel horaire : le lundi 17h30.. une exposition est programmée avec la bibliothèque communale..

Patrick Leroux (debout), l'animateur, explique aux participants comment entamer les recherches.
 

L'association culturelle War Hentchou Irvilhag vient d'ouvrir un nouvel atelier depuis peu. Il aborde la généalogie. L'animation est assurée par Patrick Leroux, récemment installé sur la commune et, surtout, généalogiste confirmé.

Ce domaine permet aux personnes de remonter les racines familiales mais aussi de découvrir, si besoin, l'origine de leur nom.

« C'est une science qui réclame de la patience et, surtout, une recherche constante dans les archives. C'est l'histoire personnelle d'une famille, mais parfois on peut également s'intéresser à celui d'un village », explique l'intéressé.

À travers la toile

Aujourd'hui, à l'heure de la révolution numérique, les recherches sont facilitées. Quand hier encore, il fallait se rendre dans les locaux des archives départementales et fouiller dans des centaines de documents, maintenant, en quelques clics sur la toile, les renseignements s'affichent.

Patrick Le Hénaff, président de War Hentchou Irvilhag, aimerait bien remonter le fil du temps en se penchant sur la lignée de Noël Legault-dit Deslauriers, un Irvillacois, soldat de l'armée de Louis XIV envoyé au XVIIe siècle au Québec, avant de s'installer dans la ville de Pointe-Claire près de Montréal.

La section est ouverte à toutes les personnes intéressées par de telles recherches. Patrick Leroux les guidera à prendre le bon chemin sur la toile.

Une exposition consacrée à la généalogie sera organisée, par la bibliothèque communale, du 24 mai au 4 juillet 2018, salle du Conseil Municipal d'Irvillac en partenariat avec WAR HENTCHOU IRVILHAG.

Une conférence sur le sujet sera animée par Patrick LEROUX (date à préciser.. )

Pratique
L'atelier a lieu le lundi, à 17 h 30, dans la salle de la mairie, en salle du Conseil Municipal, en cas d'occupation dans la salle verte au premier étage, en dehors des vacances scolaires

© Le Télégramme